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Recherche par auteur : Foucault, Michel

3 résultats.

Durée : 28h. 7min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 13607
Résumé:Quatrième de couverture : C'est, en principe, une histoire de la folie qu'on enferme, du Moyen Age au XIXe siècle ; c'est, plus profondément, à travers l'étude de cette structure qu'est l'internement, une tentative pour établir un dialogue entre folie et déraison ; c'est enfin une esquisse de ce que pourrait être "une histoire des limites - de ces gests obscurs nécessairement oubliés dès qu'accomplis, par lesquels une culture rejette quelque chose qui sera pour elle l'Extérieur". (Maurice Blanchot)
Durée : 12h. 29min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 76667
Résumé:Texte inédit rédigé en 1966, dans lequel le philosophe français s'interroge sur la nature et le rôle de la philosophie, qu'il appréhende comme un discours. Même s'il évoque peu les grands philosophes, il accorde néanmoins une place particulière à Nietzsche, qui selon lui inaugure une conjoncture où la philosophie devient une entreprise de diagnostic du présent.
Lu par : Etienne Maignen
Durée : 18h. 36min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 22378
Résumé:Les sciences humaines d'aujourd'hui sont plus que du domaine du savoir : déjà des pratiques, déjà des institutions. Michel Foucault analyse leur apparition, leurs liens réciproques et la philosophie qui les supporte. C'est tout récemment que l'«homme» a fait son apparition dans notre savoir. Erreur de croire qu'il était objet de curiosité depuis des millénaires : il est né d'une mutation de notre culture. Cette mutation, Michel Foucault l'étudie, à partir du XVIIe siècle, dans les trois domaines où le langage classique - qui s'identifiait au Discours - avait le privilège de pouvoir représenter l'ordre des choses : grammaire générale, analyse des richesses, histoire naturelle. Au début du XIXe siècle, une philologie se constitue, une biologie également, une économie politique. Les choses y obéissent aux lois de leur propre devenir et non plus à celles de la représentation. Le règne du Discours s'achève et, à la place qu'il laisse vide, l'«homme» apparaît - un homme qui parle, vit, travaille, et devient ainsi objet d'un savoir possible. Il ne s'agit pas là d'une «histoire» des sciences humaines, mais d'une archéologie de ce qui nous est contemporain. Et d'une conscience critique : car le jour, prochain peut-être, où ces conditions changeront derechef, l'«homme» disparaîtra, libérant la possibilité d'une pensée nouvelle.